C’est vrai que dans le campus universitaire, tellement la pression des examens, le rattrapage du COVID-19 fait parfois éclater la tête des jeunes et un peu de divertissement, du fou rire serait le bienvenu. Le test de pureté a été conçu pour vraiment amuser les jeunes.
La réaction de ceux qui l’ont déjà fait
La première réaction des jeunes qui sont déjà passés sous le test est tellement logique, ils prennent conscience que tellement, on ne contrôle pas nos gestes. Et des fois, les envies deviennent des bêtises, et les rires deviennent du regret. C’est quand on passe le test en groupe et que l’on attend impatiemment la réponse de notre camarade, c’est là que ça devient excitant et amusant à la fois. Le deal est de répondre franchement aux questions. Bien évidemment, on accepte de faire le test, parce qu’il faut avouer qu’il y a des questions intimes dont on se sent gêné de les répondre.
Voici quelques questions gênantes
« Vous êtes-vous déjà masturbé ? » ou « se branler » ? Et la réponse fait rougir les jeunes de 20 ans, parce qu’ils ne peuvent pas dire non et dire oui, c’est tellement honteux. Mais c’est la suite de la question qui va encore nous gêner, et pourtant la plupart des mecs répondent à un « Oui ». Et la suite de la question est très simple : « Jusqu’à l’orgasme ou pas ». Et là, on a regretté d’avoir dit oui au départ. Et la réponse devient chelou, en se posant nous-mêmes la question, « Mais c’est quoi un orgasme ? ». On est tous tombé dans le piège de ce genre de question, et on se demande même pourquoi on est obligé de poursuivre parce que franchement, il est fort celui qui arrive à la 100e question.
Une autre question qui est un peu gênante aussi est de savoir si on a déjà drogué où empoisonner nos parents. Mais la réponse est non avec plein d’arguments que même si les parents nous cassent les couilles, on n’avait jamais eu l’intention de les empoisonner. Mais franchement, les personnes qui ont élaboré ces questions pensent que c’est un test pour un malade mental ou un dépressif. Et franchement, quand on analyse les questionnaires, c’est vrai que les questions peuvent aider les personnes dépressives à avoir une autre vision de leur vie.
Une autre question qui peut mettre la personne interrogée complètement rouge de honte c’est celle-ci : « Est-ce que tu as déjà été impliqué dans une fellation ou un cunnilingus ? ». Et il y a beaucoup de jeunes qui ne connaissent même pas ce qu’est une fellation ou un cunni sauf s’ils sont fans du X. Mais, pour la poser en toute simplicité puisqu’on est entre mecs, la question est « Est-ce que tu as déjà sucé le sexe de quelqu’un ? ». Et si la réponse est un « Oui » la suite ce serait « Jusqu’à l’orgasme ou pas ? » et tout le monde va encore être fou de rires.
En conclusion, 70 % des questions se concentrent sur l’alcool et la drogue, puis le sexe, parce que ce sont les sujets que les jeunes ont du mal à s’en débarrasser.
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